Il senso comune,
la filosofia dell'essere e le formule dogmatiche
Editore: Leonardo da Vinci (Roma)
Data di edizione: 2013
Numero di pagine: 296
ISBN: 978-88-8892-672-8
Recensione: Questa nuova edizione italiana dell’opera più importante del teologo domenicano, pubblicata a Parigi nel 1909, è basata sulla terza edizione francese (del 1922) e contiene numerosi aggiornamenti lessicali e bibliografici, che i traduttori hanno introdotto allo scopo di valorizzarne il contenuto teoretico e di renderne più evidente l'attualità. Il testo di Garrigou-Lagrange è preceduto da una Nota editoriale di Antono Livi e da un Saggio introduttivo di Mario Padovano, ed è seguito da una Postfazione, ancora di Antonio Livi. I curatori mettono in rilievo i due principali argomenti del discorso di Garrigou-Lagrange: la critica del relativismo dogmatico (rappresentato allora dall'interpretazione che della verità rivelata proponevano i teologi favorevoli all'adozione delle categorie della metafisica evoluzionistica di Bergson) e la dimostrazione che solo la metafisica dell'essere garantisce un'interpretazione del dogma compatibile con il senso comune, e quindi con la destinazione universale del messaggio evangelico.
Data di edizione: 2013
Numero di pagine: 296
ISBN: 978-88-8892-672-8
Recensione: Questa nuova edizione italiana dell’opera più importante del teologo domenicano, pubblicata a Parigi nel 1909, è basata sulla terza edizione francese (del 1922) e contiene numerosi aggiornamenti lessicali e bibliografici, che i traduttori hanno introdotto allo scopo di valorizzarne il contenuto teoretico e di renderne più evidente l'attualità. Il testo di Garrigou-Lagrange è preceduto da una Nota editoriale di Antono Livi e da un Saggio introduttivo di Mario Padovano, ed è seguito da una Postfazione, ancora di Antonio Livi. I curatori mettono in rilievo i due principali argomenti del discorso di Garrigou-Lagrange: la critica del relativismo dogmatico (rappresentato allora dall'interpretazione che della verità rivelata proponevano i teologi favorevoli all'adozione delle categorie della metafisica evoluzionistica di Bergson) e la dimostrazione che solo la metafisica dell'essere garantisce un'interpretazione del dogma compatibile con il senso comune, e quindi con la destinazione universale del messaggio evangelico.
Le sens commun
La philosophie de l'être et les formules dogmatiques
Editore: Nouvelle Librerie Nationale (Paris)
Data di edizione: 1936 (4 ed. revue et corrigée)
Numero di pagine: XI-437
Link: Le sens commun.pdf
Data di edizione: 1936 (4 ed. revue et corrigée)
Numero di pagine: XI-437
Link: Le sens commun.pdf
Indice dell'opera:
Introduction: Position du problème. Retour des esprits réalistes et avides de vérité au sens commun, pour retrouver les certitudes primordiales et fondamentales qui le constituent, et pour entendre le sens des termes des formules de la foi. D'où la nécessité de rechercher ce qu'est le sens commun, quel est son objet, quelles sont ses limites, ses affirmations premières et ses affirmations dérivées, ce qu'il vaut dans sa sphère propre
PREMIÈRE PARTIE
CE QU'EST LE SENS COMMUN
On doit trouver chez les philosophes autant de théories du sens commun qu'il y a chez eux de théories de la raison. L'empirisme-nominaliste et le conceptualisme réaliste doivent être représentés
CHAPITRE PREMIER
La théorie nominaliste du sens commun
A. — Théorie proposée par M. Le Roy
§ 1. — Les préjugés particuliers du sens commun
§ 2. — Les préjugés généraux du sens commun
Conclusion: le sens commun n'a pas une valeur de représentation mais seulement une valeur d'action; il en va de même des formules dogmatiques
B. — Le Nominalisme absolu
§ 1. — Cette théorie du sens commun est une réédition du nominalisme absolu
§ 2.— Réfutation de ce nominalisme — L'objet formel de l'intelligence est l'être — Le morcelage du continu sensible et celui de l'être on de l'intelligible
§ 3. — Conséquences du nominalisme bergsonien
§ 4. — Pourquoi le sens commun ainsi conçu conserverait-il une valeur pratique immuable?
C. — Le nominalisme et les systèmes adverses dans leur rapport avec le sens commun
§ 1. — Nominalisme et conceptualisme subjectiviste
§ 2. — Nominalisme et réalisme absolu
CHAPITRE II
Théorie conceptualiste-réaliste du sens commun
C'est la théorie classique, elle peut se dégager des écrits d'Aristote et des grands scolastiques, on la retrouve chez les philosophes intellectualistes du XVII° siècle. Elle s'altère chez les Ecossais et chez Jouffroy
§ 1. Le sens commun se présente de fait comme possédant de façon confuse la solution certaine des grands problèmes philosophiques
§ 2. — Les systèmes avec lesquels le sens commun est en désaccord
§ 3. — La philosophie traditionnelle justifie le sens commun en passant des définitions nominales aux définitions réelles et en établissant le rapport des certitudes de la raison spontanée avec l'être, objet formel de l'intelligence
§ 4. — Définitions réelles du corps inanimé, du vivant, du sujet sentant, de l'homme
§ 5. — Le monde intelligible en général
§ 6. — Les premiers principes pour le sens commun. Pr. d’identité, de contradiction, de substance, de raison d'être, de causalité, de finalité, d'induction
§ 7. — Comment le sens commun s'élève à Dieu
§ 8. — Pourquoi le sens commun a conscience de la liberté
§ 9. — D'où vient la croyance du sens commun à l'immortalité de l'âme?
§ 10. — Comment le sens commun perçoit le doigt de Dieu dans un fait miraculeux
§ 11. — Le sens commun n'est ainsi justifié que dans sa sphère propre, celle des vérités susceptibles d'être rattachées à l'être
§ 12. — Trois degrés de certitude dans les jugements du sens commun
§ 13. — Que vaut cette justification du sens commun?
§ 14. — La doctrine de l'évidence objective, ou de l’être évident
§ 15. — L'Evidence subjective
§ 16. — L'objection contre la valeur objective du principe d'identité
§ 17. — Si le principe d'identité est loi fondamentale du réel et si le devenir et le multiple ne se peuvent expliquer que par la puissance, le sens commun et la philosophie de l'être ont cause gagnée contre le phénoménisme et la philosophie du devenir
DEUXIÈME PARTIE
LE SENS COMMUN ET LES PREUVES TRADITIONNELLES DE L'EXISTENCE DE DIEU
CHAPITRE PREMIER
Comment le principe de raison d’être sur lequel reposent toutes ces preuves se rattache au principe d'identité selon saint Thomas
§ 1. — La thèse classique dans sa formule générale
§ 2. — Comment saint Thomas établit qu’il y a un principe suprême
§ 3. — Quelle est la formule exacte du principe suprême
§ 4. — De quelle manière les autres principes se rattachent-ils au principe suprême?
§ 5. — Conséquence importante de cette thèse en théodicée
CHAPITRE II
La critique moderniste des preuves thomistes de l’existence de Dieu
§ 1. — Trois objections contre ces preuves
§ 2. — La première de ces objections suppose la vérité du nominalisme absolu et du subjectivisme
§ 3. — S'il est une doctrine absurde et ruineuse, ce n'est pas le réalisme ontologique mais bien le nominalisme subjectiviste
§ 4. — Les distinctions de la puissance et de l'acte, du moteur et du mobile, du mouvement et de son sujet représentent le morcelage de l'être intelligible et non pas celui du continu sensible
§ 5. — Les preuves thomistes n'impliquent aucun recours à l'argument ontologique
§ 6. — Les preuves thomistes établissent l'existence d'une cause première transcendante
CHAPITRE III
Le Panthéisme de la philosophie nouvelle
§ 1. — Le Panthéisme évolutionniste chez M. Bergson
§2. — La preuve que M. Le Roy substitue aux preuves traditionnelles conduit au panthéisme
CHAPITRE IV
La vérité fondamentale de la philosophie de l'être
Appendice I: Philosophie de l'être et ontologisme
Appendice II: L'affirmation naturelle de l'être n'est pas un postulat
TROISIÈME PARTIE
LE SENS COMMUN ET L’INTELLIGENCE DES FORMULES DOGMATIQUES
Position du problème
CHAPITRE PREMIER
Comment les formules dogmatiques se sont précisées en termes philosophiques
§ 1. — La précision progressive des formules dogmatiques
§ 2. —Les formules dogmatiques du mystère de la Sainte Trinité
§ 3. — Les formules dogmatiques du mystère de l'Incarnation
§ 4. — La définition du concile de Vienne sur l’âme forme du corps
CHAPITRE II
Les formules dogmatiques ainsi précisées restent-elles accessibles au sens commun?
§ 1. — Les formules dogmatiques ainsi précisées sont inaccessibles au sens commun s'il n'est qu'une organisation utilitaire de la pensée en vue de la vie pratique
§ 2. — Pourquoi les objections de M. Le Roy contre la doctrine thomiste de l'analogie ne portent pas. Le fondement de cette doctrine
§ 3. — Les formules dogmatiques exprimées en langage philosophique restent accessibles au sens commun dans une certaine mesure s'il est une ontologie rudimentaire
A. — Les notions phénoménistes ou purement dynamistes de la personnalité sont inconciliables avec le dogme de l'Incarnation (il y a dans le Christ deux consciences et deux libertés, on ne peut donc comme Günther se contenter d'une définition psychologique ou morale de la personnalité)
B. — Le sens commun possède une notion ontologique de la personnalité, fondement de la personnalité psychologique et de la personnalité morale
C. — Cette notion ontologique de la personnalité permet au sens commun d'entendre les mystères de l'Union hypostatique et de la Trinité
D. — Par des «élévations» le sens profond des mystères de l'Incarnation et de la Trinité peut être rendu accessible au sens commun
CHAPITRE III
Les formules dogmatiques exprimées en langage philosophique dépassent par leur précision le sens commun, mais n'inféodent le dogme à aucun système
§ 1. — Ces formules dépassent par leur précision le sens commun
§ 2. — Ces formules restent dans le prolongement du sens commun et n'inféodent le dogme à aucun système proprement dit
§ 3. — Loin de s'inféoder à nos concepts la Révélation les juge et les utilise
§4. — Le principe de l'autonomie de l'esprit
§ 5. — Le dogme est connu plus explicitement dans l'Eglise par les «majores» chargés d'enseigner les autres, mais il est pénétré plus profondément par ceux dont l'âme est plus pure
§ 6. — Il y a en un sens une philosophie de l'Église
CHAPITRE IV
Le premier regard de l'Intelligence et la Contemplation
PREMIÈRE PARTIE
CE QU'EST LE SENS COMMUN
On doit trouver chez les philosophes autant de théories du sens commun qu'il y a chez eux de théories de la raison. L'empirisme-nominaliste et le conceptualisme réaliste doivent être représentés
CHAPITRE PREMIER
La théorie nominaliste du sens commun
A. — Théorie proposée par M. Le Roy
§ 1. — Les préjugés particuliers du sens commun
§ 2. — Les préjugés généraux du sens commun
Conclusion: le sens commun n'a pas une valeur de représentation mais seulement une valeur d'action; il en va de même des formules dogmatiques
B. — Le Nominalisme absolu
§ 1. — Cette théorie du sens commun est une réédition du nominalisme absolu
§ 2.— Réfutation de ce nominalisme — L'objet formel de l'intelligence est l'être — Le morcelage du continu sensible et celui de l'être on de l'intelligible
§ 3. — Conséquences du nominalisme bergsonien
§ 4. — Pourquoi le sens commun ainsi conçu conserverait-il une valeur pratique immuable?
C. — Le nominalisme et les systèmes adverses dans leur rapport avec le sens commun
§ 1. — Nominalisme et conceptualisme subjectiviste
§ 2. — Nominalisme et réalisme absolu
CHAPITRE II
Théorie conceptualiste-réaliste du sens commun
C'est la théorie classique, elle peut se dégager des écrits d'Aristote et des grands scolastiques, on la retrouve chez les philosophes intellectualistes du XVII° siècle. Elle s'altère chez les Ecossais et chez Jouffroy
§ 1. Le sens commun se présente de fait comme possédant de façon confuse la solution certaine des grands problèmes philosophiques
§ 2. — Les systèmes avec lesquels le sens commun est en désaccord
§ 3. — La philosophie traditionnelle justifie le sens commun en passant des définitions nominales aux définitions réelles et en établissant le rapport des certitudes de la raison spontanée avec l'être, objet formel de l'intelligence
§ 4. — Définitions réelles du corps inanimé, du vivant, du sujet sentant, de l'homme
§ 5. — Le monde intelligible en général
§ 6. — Les premiers principes pour le sens commun. Pr. d’identité, de contradiction, de substance, de raison d'être, de causalité, de finalité, d'induction
§ 7. — Comment le sens commun s'élève à Dieu
§ 8. — Pourquoi le sens commun a conscience de la liberté
§ 9. — D'où vient la croyance du sens commun à l'immortalité de l'âme?
§ 10. — Comment le sens commun perçoit le doigt de Dieu dans un fait miraculeux
§ 11. — Le sens commun n'est ainsi justifié que dans sa sphère propre, celle des vérités susceptibles d'être rattachées à l'être
§ 12. — Trois degrés de certitude dans les jugements du sens commun
§ 13. — Que vaut cette justification du sens commun?
§ 14. — La doctrine de l'évidence objective, ou de l’être évident
§ 15. — L'Evidence subjective
§ 16. — L'objection contre la valeur objective du principe d'identité
§ 17. — Si le principe d'identité est loi fondamentale du réel et si le devenir et le multiple ne se peuvent expliquer que par la puissance, le sens commun et la philosophie de l'être ont cause gagnée contre le phénoménisme et la philosophie du devenir
DEUXIÈME PARTIE
LE SENS COMMUN ET LES PREUVES TRADITIONNELLES DE L'EXISTENCE DE DIEU
CHAPITRE PREMIER
Comment le principe de raison d’être sur lequel reposent toutes ces preuves se rattache au principe d'identité selon saint Thomas
§ 1. — La thèse classique dans sa formule générale
§ 2. — Comment saint Thomas établit qu’il y a un principe suprême
§ 3. — Quelle est la formule exacte du principe suprême
§ 4. — De quelle manière les autres principes se rattachent-ils au principe suprême?
§ 5. — Conséquence importante de cette thèse en théodicée
CHAPITRE II
La critique moderniste des preuves thomistes de l’existence de Dieu
§ 1. — Trois objections contre ces preuves
§ 2. — La première de ces objections suppose la vérité du nominalisme absolu et du subjectivisme
§ 3. — S'il est une doctrine absurde et ruineuse, ce n'est pas le réalisme ontologique mais bien le nominalisme subjectiviste
§ 4. — Les distinctions de la puissance et de l'acte, du moteur et du mobile, du mouvement et de son sujet représentent le morcelage de l'être intelligible et non pas celui du continu sensible
§ 5. — Les preuves thomistes n'impliquent aucun recours à l'argument ontologique
§ 6. — Les preuves thomistes établissent l'existence d'une cause première transcendante
CHAPITRE III
Le Panthéisme de la philosophie nouvelle
§ 1. — Le Panthéisme évolutionniste chez M. Bergson
§2. — La preuve que M. Le Roy substitue aux preuves traditionnelles conduit au panthéisme
CHAPITRE IV
La vérité fondamentale de la philosophie de l'être
Appendice I: Philosophie de l'être et ontologisme
Appendice II: L'affirmation naturelle de l'être n'est pas un postulat
TROISIÈME PARTIE
LE SENS COMMUN ET L’INTELLIGENCE DES FORMULES DOGMATIQUES
Position du problème
CHAPITRE PREMIER
Comment les formules dogmatiques se sont précisées en termes philosophiques
§ 1. — La précision progressive des formules dogmatiques
§ 2. —Les formules dogmatiques du mystère de la Sainte Trinité
§ 3. — Les formules dogmatiques du mystère de l'Incarnation
§ 4. — La définition du concile de Vienne sur l’âme forme du corps
CHAPITRE II
Les formules dogmatiques ainsi précisées restent-elles accessibles au sens commun?
§ 1. — Les formules dogmatiques ainsi précisées sont inaccessibles au sens commun s'il n'est qu'une organisation utilitaire de la pensée en vue de la vie pratique
§ 2. — Pourquoi les objections de M. Le Roy contre la doctrine thomiste de l'analogie ne portent pas. Le fondement de cette doctrine
§ 3. — Les formules dogmatiques exprimées en langage philosophique restent accessibles au sens commun dans une certaine mesure s'il est une ontologie rudimentaire
A. — Les notions phénoménistes ou purement dynamistes de la personnalité sont inconciliables avec le dogme de l'Incarnation (il y a dans le Christ deux consciences et deux libertés, on ne peut donc comme Günther se contenter d'une définition psychologique ou morale de la personnalité)
B. — Le sens commun possède une notion ontologique de la personnalité, fondement de la personnalité psychologique et de la personnalité morale
C. — Cette notion ontologique de la personnalité permet au sens commun d'entendre les mystères de l'Union hypostatique et de la Trinité
D. — Par des «élévations» le sens profond des mystères de l'Incarnation et de la Trinité peut être rendu accessible au sens commun
CHAPITRE III
Les formules dogmatiques exprimées en langage philosophique dépassent par leur précision le sens commun, mais n'inféodent le dogme à aucun système
§ 1. — Ces formules dépassent par leur précision le sens commun
§ 2. — Ces formules restent dans le prolongement du sens commun et n'inféodent le dogme à aucun système proprement dit
§ 3. — Loin de s'inféoder à nos concepts la Révélation les juge et les utilise
§4. — Le principe de l'autonomie de l'esprit
§ 5. — Le dogme est connu plus explicitement dans l'Eglise par les «majores» chargés d'enseigner les autres, mais il est pénétré plus profondément par ceux dont l'âme est plus pure
§ 6. — Il y a en un sens une philosophie de l'Église
CHAPITRE IV
Le premier regard de l'Intelligence et la Contemplation
Il senso comune
Titolo originale: Le sens commun. La philosophie de l'être et les formules dogmatiques
Editore: La Scuola (Brescia)
Editore originale: Nouvelle Librerie Nationale (Paris 1922)
Data di edizione: 1951
Numero di pagine: 86
Recensione:
Si tratta di una traduzione italiana parziale che riproduce soltanto il Capitolo II della Prima Parte e il Capitolo I della Seconda Parte del testo integrale.
Editore: La Scuola (Brescia)
Editore originale: Nouvelle Librerie Nationale (Paris 1922)
Data di edizione: 1951
Numero di pagine: 86
Recensione:
Si tratta di una traduzione italiana parziale che riproduce soltanto il Capitolo II della Prima Parte e il Capitolo I della Seconda Parte del testo integrale.
Indice dell'opera
Presentazione
PARTE PRIMA
Teoria concettualista-realista del senso comune
§ 1 - Il senso comune si presenta di fatto come contenente in maniera confusa la soluzione certa dei grandi problemi filosofici
§ 2 - I sistemi dai quali discorda il senso comune
§ 3 - La filosofia tradizionale giustifica il senso comune
§ 4 - Definizioni reali del corpo inanimato, del vivente, del soggetto senziente, dell'uomo
§ 5 - Il mondo intelligibile in generale
§ 6 - I primi principi per il senso comune
§ 7 - Come il senso comune si eleva a Dio
§ 8 - Perché il senso comune ha coscienza della libertà
§ 9 - Donde viene la credenza del senso comune nell'immortalità dell'anima?
§ 10 - Come il senso comune percepisce l'intervento di Dio in un fatto miracoloso
§ 11 - Il senso comune in tal modo non è giustificato che nella sua sfera propria
§ 12 - Tre gradi di certezza nei giudizi del senso comune
§ 13 - Che cosa vale questa giustificazione del senso comune
§ 14 - La dottrina dell'evidenza oggettiva o dell'essere evidente. L'errore degli scozzesi
§ 15 - L'evidenza soggettiva
§ 16 - L'obbiezione contro il valore oggettivo del principio d'identità
§ 17 - Se il principio d'identità è legge fondamentale del reale
PARTE SECONDA
Il senso comune e le prove tradizionali della esistenza di Dio
Il principio di ragion d'essere si ricollega al principio d'identità secondo S. Tommaso
§ 1 - La tesi classica nella sua formula generale
§ 2 - Come S. Tommaso stabilisce che vi è un principio supremo
§ 3 - Qual è la formula esatta del principio supremo?
§ 4 - In che modo gli altri principi si ricollegano al principio supremo?
§ 5 - Importante conseguenza di questa tesi in teodicea
PARTE PRIMA
Teoria concettualista-realista del senso comune
§ 1 - Il senso comune si presenta di fatto come contenente in maniera confusa la soluzione certa dei grandi problemi filosofici
§ 2 - I sistemi dai quali discorda il senso comune
§ 3 - La filosofia tradizionale giustifica il senso comune
§ 4 - Definizioni reali del corpo inanimato, del vivente, del soggetto senziente, dell'uomo
§ 5 - Il mondo intelligibile in generale
§ 6 - I primi principi per il senso comune
§ 7 - Come il senso comune si eleva a Dio
§ 8 - Perché il senso comune ha coscienza della libertà
§ 9 - Donde viene la credenza del senso comune nell'immortalità dell'anima?
§ 10 - Come il senso comune percepisce l'intervento di Dio in un fatto miracoloso
§ 11 - Il senso comune in tal modo non è giustificato che nella sua sfera propria
§ 12 - Tre gradi di certezza nei giudizi del senso comune
§ 13 - Che cosa vale questa giustificazione del senso comune
§ 14 - La dottrina dell'evidenza oggettiva o dell'essere evidente. L'errore degli scozzesi
§ 15 - L'evidenza soggettiva
§ 16 - L'obbiezione contro il valore oggettivo del principio d'identità
§ 17 - Se il principio d'identità è legge fondamentale del reale
PARTE SECONDA
Il senso comune e le prove tradizionali della esistenza di Dio
Il principio di ragion d'essere si ricollega al principio d'identità secondo S. Tommaso
§ 1 - La tesi classica nella sua formula generale
§ 2 - Come S. Tommaso stabilisce che vi è un principio supremo
§ 3 - Qual è la formula esatta del principio supremo?
§ 4 - In che modo gli altri principi si ricollegano al principio supremo?
§ 5 - Importante conseguenza di questa tesi in teodicea
Recensioni
- Dogma e senso comune. Una salutare lettura da Garrigou-Lagrange